Cahier des Rêves

 Sam CANNAROZZI  

Où que vous ayez été le 8 Juillet au matin, dans la mesure où vous vous êtes reliés à cette Fêteenvoyer ici vos récits de rêve (nuit du 7 au 8, exclusivement).  Faites-le ! 
Beaucoup de gens participent à ces Fêtes, ici ou là, en groupe ou chez eux, cependant trop peu encore envoyent leur rêve sur ce site... Pourquoi ne pas le faire maintenant ?  Puisque la Fête des Rêves ne prend tout son sens que par votre participation collective à ce grand Cahier mondial des rêves de cette nuit fameuse, ce qui permet une méta-connaissance de notre activité onirique en réseau ponctuel...      {Et si vous pensez que votre rêve ne vaut pas grand chose, lisez donc ceci :  http://www.fetedesreves.com/texte-reves-reines-et-nuit.php?texte=121  }                                            (P.S. 1 : Quand un rêve est envoyé sur ce site, l'Admin. est averti par un mail et doit encore valider l'envoi pour qu'il apparaisse effectivement sur ce site. Ne vous étonnez donc pas du délai entre votre envoi et l'apparition du rêve ici même !).       ((P.S. 2 : Par "Lieu du rêve", on entend la localisation géographique pendant la Nuit du 7 au 8 juillet...)).

 

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puce reveRêve de Lizeor :

« Deux rêves »

1 Immeubles. Début d’escalade mais peur et prudence. Je suis invitée à un repas en soirée chez des gens qui ont invité des voisins dans un grand immeuble type HLM, à l’architecture pas spécialement belle. Je ne sais plus pourquoi, j’avais quelque chose à faire avant et ils sont tous montés ensemble. Je devais les rejoindre. La dame était une personne du genre concierge (il y en avait plusieurs qui se relayaient) de garde ce soir-là _ ce qui ne l’empêchait pas de festoyer. J’ai d’abord essayé de grimper chez eux par la fenêtre extérieure, mais j’ai eu beau prendre mon élan, j’ai eu peur de ne pas réussir car c’était très haut. Chaque étage était dédoublé en deux ou trois niveaux de balcons, et il fallait que j’accède deux étages plus haut (donc à peu près 5 ou 6 niveaux de balcons). Un peu déçue de ne pas réussir à grimper directement par l’extérieur, je suis redescendue dans le hall de l’immeuble. C’est là que j’ai découvert qu’il y avait un bouton-sonnette pour appeler la concierge de garde (il y avait 3 concierges en tout), et une dame m’a expliqué comment cela marchait car je ne le savais pas. Les boutons étaient en cuivre doré ancien. J’étais donc rassurée, j’allais pouvoir rejoindre la dame, son mari, et quelques autres personnes. Puis, je me suis rendormie et j’ai fait par la suite un autre rêve. 2 Dans le train, ouverture de justesse : je passe, suivie d’une femme écrivain que je ne connaissais pas. Nous faisons un peu connaissance. je lui propose de lui échanger un livre de moi (de poésie) contre un livre d’elle. Elle est réticente car elle croit que j’ai besoin d’une lecture critique avec commentaires. je la rassure : c’est juste pour lui offrir une lecture. Elle-même n’écrit que des livres de commentaires. Arrivée à Montpellier ou une ville qui lui ressemble. J’attends l’ex-fondateur de la revue d’art Kanal magazine. Nous n’avons pas eu le temps de fixer notre rendez-vous clairement : seulement entre l’église (sans le nom) et la gare. La femme s’inquiète et a peur que nous ne nous retrouvions pas avec un rendez-vous aussi peu précis. Moi, j’ai confiance, j’ai l’habitude ; mais finalement j’accepte qu’elle lui reprécise le nom de l’église lorsqu’il l’appellera au téléphone, car ils ont, eux, un rendez-vous téléphonique. 3 Apparaît visuellement l’écriture : « Poéers 24 » (comme un flash) C’était à la fin du rêve et je me suis presque réveillée. J’ai eu juste le temps de classer ce rêve dans la catégorie « poéers » (mot nouveau inventé en rêve presqu’éveillé, et constitué sans doute de « poésies » et « rêves »). Il m’est venu que c’était le poéers 24. je crois que j’ai entendu la voix de Marin ou aperçu sa silhouette en rêve (le visage) à ce moment-là.