Cahier des Rêves

 Sam CANNAROZZI  

Où que vous ayez été le 8 Juillet au matin, dans la mesure où vous vous êtes reliés à cette Fêteenvoyer ici vos récits de rêve (nuit du 7 au 8, exclusivement).  Faites-le ! 
Beaucoup de gens participent à ces Fêtes, ici ou là, en groupe ou chez eux, cependant trop peu encore envoyent leur rêve sur ce site... Pourquoi ne pas le faire maintenant ?  Puisque la Fête des Rêves ne prend tout son sens que par votre participation collective à ce grand Cahier mondial des rêves de cette nuit fameuse, ce qui permet une méta-connaissance de notre activité onirique en réseau ponctuel...      {Et si vous pensez que votre rêve ne vaut pas grand chose, lisez donc ceci :  http://www.fetedesreves.com/texte-reves-reines-et-nuit.php?texte=121  }                                            (P.S. 1 : Quand un rêve est envoyé sur ce site, l'Admin. est averti par un mail et doit encore valider l'envoi pour qu'il apparaisse effectivement sur ce site. Ne vous étonnez donc pas du délai entre votre envoi et l'apparition du rêve ici même !).       ((P.S. 2 : Par "Lieu du rêve", on entend la localisation géographique pendant la Nuit du 7 au 8 juillet...)).

 

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puce reveRêve de Anonyme :

« Je suis à quelques mètres... »

Je suis à quelques mètres au-dessus du sol, à la limite entre la mer et la terre. Haut dans le ciel étoilé, la lune pleine illumine la nuit de sa lueur virginale, au-dessus des eaux calmes et sombres. À ses côtés brille un astre énorme d'une puissance inouïe que je n'avais jamais aperçu jusqu'alors: le visage de François Brousse s'inscrit sur sa surface dorée. Sur la côte se dresse une vieille tour en ruine en pierre noire. Je sens l'énergie d'un Maître qui émane de cet édifice délabré. Est-ce Isis, Athéna ou Ishtar? Je ne sais pas trop en tout cas je suis sûr que c'est l'énergie d'une femme surhumaine. J'hésite... puis finalement je décide de me diriger vers la Grande Initiatrice quelle qu'elle soit. Au moment où je m'élance la tour se disloque et je me retrouve suspendu dans les airs parmi cet amas de ruine. Je suis irrémédiablement aspiré par François Brousse, astre souriant parmi les étoiles.